Dolutégravir, une molécule nocive ?

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Dolutégravir, une molécule nocive ?

Bien que moins coûteux, l’Oms a fait adopté un nouveau traitement à base  du dolutégravir dans certains pays africains comme  le Kenya et l’Afrique du Sud alors que les premiers résultats des essais en cours restent encore non rassurants.

Selon nos sources, des tests réalisés au Canada et en France sur plus de 1000 sujets, révèlent 43 effets secondaires et complications non maîtrisés conduisant entre autres au suicide et à la perte de libido.

Des études opérées ailleurs par plusieurs structures  mettent en exergue les effets indésirables de cette molécule de première ligne.  Vendu sous le nom  Tivicay ce produit  peut présenter des effets indésirables en cas de grossesse, d’allaitement et de fertilité.

En ce qui concerne les cas de grossesse, les données cliniques limitées sur l’utilisation du dolutégravir  sont inconnues. Les études  de toxicité  sur la reproduction  réalisées chez l’animal semblent montrer que le dolutégravir traverserait les barrières placentaires.

Pour ce qui est de l’allaitement, l’on ne sait pas si le dolutégravir est excrété dans le lait maternel. Chez les animaux servant de cobayes, les études montrent des données toxicologiques qui mettent en évidence l’excrétion du dolutégravir dans le lait. Pour la fertilité en fin, il n’ n’existe pas de données relatives aux effets de cette molécule  chez l’homme et la femme.

D’après les informations recueillies sur le site’’ doctissimo.fr’’, le dolutégravir présente des effets indésirables suivants : hypersensibilité, éruptions cutanées, augmentation des enzymes hépatiques, fièvre, malaise général, fatigue, douleur musculaire, douleur articulaire, phlyctène, Lésion buccale, conjonctivite, œdème de la face, éosinophilie, angio-œdème, syndrome de restauration immunitaire, rétinite à CMV liée au sida, infection mycobactérienne, pneumonie à pneumocystis jiroveci, maladie auto-immune, maladie de Basedow, insomnie rêves anormaux, dépression,  anxiété, idée suicidaire, tentative de suicide, céphalée, sensation vertigineuse, nausée, diarrhée, vomissement , flatulence, douleur abdominale, gêne abdominale, hépatite, prurit cutané, Alat augmentées, Asat augmentées, augmentation des CPK, augmentation de la créatinine sérique.

Le site Catie.ca,  source canadienne de renseignements sur le VIH et hépatite évoque de cas  de complications et des effets secondaires notamment sur le cerveau  causés par le médicament Juluca composé de dolutégravir et de rilpivirine.

 

La Rédaction

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